Le kit de survie "officiel"

Efficacité "limitée" sur moi.... de l'ensemble des "traitements" proposés !

• Lexomil® : 1/4 la veille, le jour et le soir de la "cure". Aucun intérêt 
• Primperan® :Très vite abandonné en raison de son inefficacité et potentiellement dangereux : l'Afssaps rappelle qu'il présente des risques neurologiques et cardiovasculaires potentiellement graves, il peut provoquer des dyskinésies, c'est-à-dire des mouvements incontrôlés de la face et de certains membres. Il peut aussi provoquer des bradycardies, autrement dit une chute du rythme cardiaque grave.)
• Solupred® : (cortisone) en injection (en pré-cure) + cachets la veille le jour et le lendemain de la "cure" de Taxotère®
• Zophren® (Sétron) cachets - immédiatement régurgités - donc : suppositoires (existe aussi en patch semble-t-il)
• Emend® (Aprépitant) : kit de trois gélules (médicament "hospitalier"). A prendre le jour de la cure (1h avant) puis le lendemain et le surlendemain. Le plus efficace des trois mais doit être pris en association avec Solupred et Zophren.

• Potion de St Louis (bain de bouche : 1 Flacon de 500 cc de Bicarbonate de Sodium à 1,4% + 1 Flacon de Mycostatine® + 5 cc d’Eludril®) > inefficace. De plus le produit a accentué les brûlures dans la bouche & détruit la flore buccale.
• Triflucan® 200mg  / JOUR  pendant 10 jours : à prendre dès le premier jour pour être efficace... mais seulement jusqu'à un certain point.

• Mopral® : contre les brûlures d'estomac suite à la prise des corticoïdes efficace

• Dexeryl® crème pour hydrater nécessaire mais efficacité très limitée !
• Diprosone® crème dermocorticoïde suite au "syndrome main pied" (appliquer trois fois par jour, puis hydrater un maximum avec Dexeryl) peu efficace
• "Bracelets" réfrigérants posés lors de la "cure"... (inefficaces ou... mal posés ?)

Beaucoup moins "traumatisants" et douloureux que la "chimio", les rayons ne sont pas moins exempts d'effets dits secondaires :

Semblable à un coup de soleil, l'érythème cutané est la réaction la plus fréquente. Il est parfois accompagné d'une desquamation fine, et/ou d'un prurit Elle survient habituellement à partir de la 3e semaine de traitement. 

Voici les recommandations et "commandements" qui m'ont été prodigués par la radiologue :

A faire :

A ne pas faire :

Au fur et à mesure du traitement, la fatigue peut apparaître ou s'accentuer.

Elle est notamment accentuée par les trajets entre le domicile et l’établissement qui délivre les rayons dès lors que ceux-ci se font en voiture et dépasse le quart d'heure de trajet.... (J'avais 2 heures minimum de trajet quotidiennement et pendant 5 semaines d'affilée) . Privilégiez le VSL dans ces cas-là !

La plupart des patients commencent à se sentir fatigués après une ou deux semaines de radiothérapie. Cette sensation peut s'accroître avec la durée du traitement.

La solution ?

Se reposer !

•  Des troubles cutanés
• • • une irritation de la peau du sein qui peut être sèche ;
    • des rougeurs (télangiectasie) ;
    • un changement de la couleur de la peau qui devient plus foncée ou plus pâle.
• Un lymphœdème du bras. 
• Une douleur et un inconfort intermittent ressentis dans le sein  - si vous n'avez eu "que" une ablation de la tumeur (tumorectomie)
• Une raideur de l'épaule qui peut être prise en charge par des séances de kinésithérapie ou de physiothérapie.
• Une modification de l'apparence du sein comme un changement de la taille, de forme ou de fermeté du sein.
• Des troubles pulmonaires, peu fréquents, caractérisés par une fièvre, une toux sèche persistante, un essoufflement et parfois des douleurs thoraciques. Cet effet peut se produire de quelques semaines à plusieurs mois après la radiothérapie.
• Des troubles cardiaques peuvent survenir si la dose reçue par une partie du cœur (en particulier lors du traitement du sein gauche) dépasse un certain seuil. Cet effet est toutefois très rare dans la mesure où le plan de traitement fait en sorte que la dose reçue soit inférieure à ce seuil.
• Un risque, exceptionnel, de second cancer induit par la radiothérapie, en particulier chez les femmes ayant été traitées pour un cancer du sein avant 40 ans.

L'arrêt du tabac est très important notamment pour limiter le risque de complications pendant et après les traitements. 

Ah.... et surtout, mesdames... n'oubliez pas de "RESTER BELLES !"

... Ben voyons ^__~

 Au vu du peu d'efficacité des produits "officiels" de la pharmacopée allopathique PENDANT les traitement, j'ai cherché d'autres solutions aux maux qui nous sont infligés et contre lesquels on ne peut pas grand chose.